Non à ce plan de licenciement massif !
Pour préserver le bon fonctionnement des établissements scolaires, des collectivités publiques et des associations...
Halte à la précarité !
Maintien et réemploi de tous les contrats aidés !
Le gouvernement a décidé la réduction importante des contrats aidés, et ce, en plein mois de Juillet. Cette décision inadmissible compromet le bon le fonctionnement des établissements scolaires et menace la survie de très nombreuses associations. En effet, ce sont un tiers des emplois aidés qui sont touchés, soit environ 23000 personnes en France et plus d’un millier dans l’académie d’Aix-Marseille, auxquels il faut rajouter les emplois qui dépendent du département, de la région et des municipalités. Or ces personnels assurent des missions qui sont devenues indispensables dans les établissements scolaires (auxiliaires de vie scolaire -AVS-, entretien, cantine, secrétariat, aide à la direction, informatique, sécurité etc...) et dans le monde associatif. Ainsi, ce sont les fonctions de services publics qui sont fragilisées au détriment des usagers et des personnels.
Nous dénonçons la brutalité avec laquelle ces collègues précaires ont appris le non renouvellement de leurs contrats, les condamnant de nouveau au chômage, sans solution et sans accompagnement. Ainsi, c’est un véritable « Plan social » et un abandon pour tous ces personnels, qui ont appris sans ménagement, et parfois par hasard, la fin de leur contrat. C’est inacceptable !
Les signataires demandent :
- Dans l’immédiat , le maintien et le réemploi de tous les contrats aidés
- Un véritable plan de lutte contre la précarité dans la Fonction Publique
- La transformation des contrats aidés en emplois statutaires
- Un véritable plan de financement public du monde associatif
Mercredi 20 Septembre 2017, à partir de 13H
Place de la Préfecture
Premiers signataires : CFDT13, CGT éducaction, CNT-SO, FSU13, FSU Territoriale, MPE13, SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNES-FSU, SNUIPP-FSU, Solidaires13, Sud éducation, UNSA13…
La FSU 13 propose la signature de deux pétitions en ligne, qui seront remises au Préfet :